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Comment optimiser le temps de travail ? – Avec Je Bosse en Grande Distribution

Découvrez notre podcast inédit avec Je Bosse en Grande Distribution !

Au programme : 

  • les débuts de TimeSkipper ;
  • la place des métiers du commerce aujourd’hui ; 
  • les solutions concrètes proposées aux problématiques du secteur ;
  • l’étude sur la gestion du temps ;
  • les solutions pour satisfaire le client.

Rendre utile chaque heure de travail

La naissance de TimeSkipper remonte à 2012 et elle est née d’un constat simple. Notre co-fondateur, Geoffroy d’Argenlieu, lors de son ancien poste avait constaté qu’il existait des différences de temps, des process et des manières de faire différents pour gérer les linéaires. Alors pourquoi pas, ne pas proposer un canvas avec des indicateurs pour permettre aux collaborateurs de mieux gérer leurs linéaires.

L’idée s’est ensuite construite autour d’un outil de pilotage de la charge de travail. Dans un contexte où l’heure de travail devient une ressource rare et chère, il convenait de proposer une plateforme innovante pour permettre aux enseignes de la distribution d’optimiser les heures, la charge de travail. Ceci de plus, en s’ancrant dans une perspective humaine, celle de redonner sa place au management opérationnel avec une volonté d’équité, d’entraide et de sérénité pour chacun des collaborateurs

TimeSkipper sert à piloter les tâches de chaque collaborateur, à mesurer le temps qu'elles doivent prendre et à les attribuer de manière équitable. La plateforme sert aussi à fournir des indicateurs pour toujours mieux gérer le temps de travail.

Le commerce d'aujourd'hui a encore de l'avenir

Le commerce aujourd’hui souffre de trois grands maux : 

  1. L’aspect humain : de nos jours, il devient compliqué de recruter et de fidéliser les collaborateurs. Ceci est quelque peu dû d’un manque de considération des managers et des employés libre service. Le besoin de reconnaissance de leur métier est en effet clé.
  2. le magasin subi un système logistique compliqué qui impacte fortement l’organisation du travail des équipes en magasin.
  3. l’environnement économique complexe : il y a moins de volume acheté. Ce qui créé de fortes tension dans le secteur du textile par exemple ou encore même dans le bricolage. 

 

Le manager doit également faire face à de nombreux enjeux. Il doit composer avec comme énoncer précédemment des problèmes de recrutement, mais aussi des heures qui ne suffisent plus et qui ne peuvent pas être gâchées, la nécessité de fidéliser et motiver ses équipes et tout cela en ayant l’objectif de satisfaire au mieux les clients. 

Le poste de manager a encore de l’avenir. Les directions prennent conscience que sans les équipes qui sont la cheville ouvrière du magasin, rien ne se passe. De plus c’est un secteur humain. C’est un des rares secteurs où tout est fait avec des bras. 

On peut redonner un vrai coup de fouet au secteur !

Retrouver la dynamique managériale est important pour redorer le blason du secteur et améliorer l'efficacité des équipes.

Réenchanter les métiers du commerce

On ne fait rien sans les équipes. La reconnaissance du manager comme cheville ouvrière du magasin et des équipes et la première chose qu’il faut résoudre. 

TimeSkipper y prend part en aidant le manager à mieux animer et gérer son équipe au quotidien. L’outil lui permet de prendre de la distance et d’anticiper le volume de travail. Les indicateurs fournis lui permettent également de répartir équitablement la charge entre ses collaborateurs, de repenser si nécessaire son modèle d’organisation. 

TimeSkipper replace le manager à son rôle principal : celui d’allouer au mieux les ressources, et permet de favoriser l’esprit d’équipe !

Retour sur notre enquête

Au travers l’enquête menée avec Je Bosse en Grande Distribution sur la perception du temps en magasin.

Il a été déduit qu’il existe un « laisser aller » managériale. 3/4 des managers n’ont par exemple, en effet pas assez de temps pour organiser le travail de leur équipe. Un manque d’organisation qui traduit une fausse autonomie perçue par les collaborateurs du rayon. Les ELS ressentent un degré d’autonomie de 4,2/5.